Corinne DAGUET
Relation d'Aide à Janville-sur-Juine

Corinne DAGUET
Votre psychopraticien en relation d'aide

REFLEXIONS

Comment agir et prendre une décision avec nos relations anciennes sans les rejeter ?

L’équilibre dans nos relations s’établit sur la base de la gratitude de ce qu’elles nous ont permis de vivre mais aussi accepter de s’en libérer lorsque l’évolution personnelle devient un objectif.

En premier lieu, il est important de bien accepter et de remercier nos relations passées :

Chaque relation, plus ou moins agréable, que nous avons vécue, a contribué à notre croissance personnelle et spirituelle. Il est essentiel de reconnaître leur impact et d’exprimer notre gratitude pour les enseignements appris. Remercier ces relations anciennes ne signifie pas les conserver à tout prix, mais plutôt les honorer pour ce qu’elles nous ont apporté. C’est grâce à elles que nous nous sommes permis d’aller de l’avant.

Comprendre que nous changeons c’est comprendre que nos relations évoluent dans le temps. Ce qui a été important hier ne le sera pas obligatoirement aujourd’hui et encore moins demain.

FAIRE LE CHOIX DE LA RAISON OU DU BONHEUR ?

Marshall Rosenberg, le fondateur de la CNV, demandait : « avoir raison ou être heureux ? »

Vaut-il mieux maintenir nos certitudes et continuer à nous battre pour conserver ce que nous avons accumulé depuis que nous sommes en âge de le faire ? Contre vents et marées, nous déployons une énergie incroyable pour préserver et sauver ce que nous croyons être la source de notre raison de vivre. Or nous voyons bien ces derniers temps que nos effets et nos valeurs sont inconstants et que nos intentions plus ou moins justifiées sont mises à rude épreuve. Même si les choses ont un prix dans leur forme et nous donnent entière satisfaction, sont-elles pour autant une source de bonheur ? N’y a-t-il pas une confusion entre les notions de bonheur, de plaisir et de satisfaction ? Nous nous rendons compte que tout ce qui nous a donné satisfaction jusqu’alors peut aussi s’effondrer du jour au lendemain. ? Pour maintenir ce que nous avons gagné, nous sommes prêts, bec et ongles à défendre nos biens, nos relations, autrement dit, par la force d’un combat teinté de colère, de peur, dans le but de contrôler encore et toujours. Pourtant nous sommes en changement perpétuel : nos goûts, nos idées, nos relations...

Et si accepter de lâcher était l’épreuve nécessaire pour accéder à une forme de bonheur ?

La pièce de théâtre ou l’art de sortir de nos jeux ?

Avez-vous remarqué à quel point nous sommes des comédiens formidables sur la scène de théâtre de notre vie ? Nous passons la majeure partie de notre temps à agir en fonction des autres et de leurs attentes. À chaque situation, à chaque rencontre, nous trions dans notre garde-robe, le costume le plus adéquat à l’évènement. Nous sommes dotés d’une incroyable panoplie : un costume pour le repas dominical concocté par notre belle-mère, un autre pour le milieu professionnel, pour avoir sa place parmi les collègues ou l’aval du patron, un autre costume pour fréquenter les différentes sphères sociales en jouant ou surjouant le rôle que les autres attendent de nous, afin d’être acceptés.

Quand le syndrome de l’imposteur et le manque de confiance nous conduisent à la procrastination

- "... Je ne me sens pas capable, je ne suis pas à la hauteur, j’ai le syndrome de l’imposteur…"

- "Ca ! Ce n’est pas toi, c'est comme ça que tu te vois ?"

 C'est peut-être le fruit d’une accumulation de croyances que tu as collectionnées dans ta vie et qui freinent ta confiance en toi, cela concerne une partie de tes pensées produites par ton cerveau qui t’induisent en erreur. Ce qui signifie qu’il y a encore 1000 pensées qui peuvent être produites. L’énergie active la pensée et le hamster dans la cage tourne de plus en plus vite.

 

Les journées du Patrimoine

Les journées du patrimoine rendent depuis longtemps hommage aux vestiges, témoins de l’histoire des hommes. Les édifices invitent les visiteurs à plonger dans le passé pour transmettre l’histoire de nos civilisations et à ressentir l’impact des empreintes qu’elles nous ont laissées. Depuis peu, ces journées proposent de nouvelles perspectives : ouvrir notre conscience à la planète qui nous abrite, car notre terre reste le premier patrimoine.

Certaines erreurs du passé rejaillissent sur les désordres d’aujourd’hui et nous amènent à reconsidérer le soin envers notrenotre planète  planète. La vie nous enseigne que tout est mouvement : Tout le vivant active un fort pouvoir de transformation sans discontinuité.

LES RELATIONS FAMILIALES, POURQUOI EN PARLER ?

J’aimerais vous parler de la source de la relation que nous avons développée avec nos parents et qui pourrait être en lien avec certaines problématiques de notre vie au présent. En d’autres termes, notre passé explique notre présent.  Il n’est pas question de trouver des coupables en nos parents mais d’identifier nos dysfonctionnements pour mieux les comprendre et les transformer pour agir autrement avec nos enfants, et ainsi mettre un terme aux répétitions générationnelles.

Les parents ont le sentiment de transmettre les mêmes valeurs et d’être équitables dans leur manière d’éduquer les enfants. Pourtant chaque enfant va capter, en fonction de sa personnalité, le message qu’il va garder ou adapter dans sa vie.

La relation avec nos parents peut être complexe et douloureuse et d’autres fois plus simple. Pourquoi ce lien est-il important ? Parce que les parents représentent tout pour le petit enfant ; ce sont les premières relations de sa nouvelle existence. Sa vie semble suspendue au fil du lien que la personne va tisser avec lui. Les parents sont sensés nous aimer, nous protéger, mais les liens d’amour, d’attachement et la construction de nos relations avec autrui, vont engager la qualité de ce lien. Nous allons rejouer dans notre vie avec nos amours, nos relations, nos profs, camarades, enfants, collègues, la scène de la relation que nous a léguée nos parents.

L'attente

L’attente est un état qui conditionne une croyance selon laquelle la solution viendrait de l’extérieur. Penser que le problème est en dehors de soi peut conditionner un comportement de soumission quelquefois adopté depuis l’enfance et faire croire que nous sommes dépendants d’une source extérieure pour faire des choix ou ne rien changer parce que changer suppose un autre rapport de soi à l’autre.Certains émettent l’hypothèse que nos modèles sociétaux nous entretiennent dans l’attente en dépit de l’obligation de prise de décisions rapides pour le bien de chacun et du groupe. Mais aujourd’hui la liste d’attente s’allonge de plus en plus, en paradoxe à la notion d’urgence qui est aussi omni présente et nous ne sommes plus en mesure de quantifier le temps…d’attente.

La régression dans tous ses états.

Cet état-là fait froncer les sourcils et n’est généralement pas perçu comme un comportement ami.

Régresser évoque pour beaucoup, la réduction de nos facultés physiques, psychiques ou motrices et peut même aller à faire ressentir chez certains du fond de leur anxiété, l’idée de la mort car la régression peut être  vue aussi comme un point de  non-retour.

Or régresser n’est pas toujours la prison qui nous  enferme dans nos états limitatifs : s’enfermer c’est aussi contempler le travail déjà effectué et celui qui peut être encore amélioré.

 

Et après le deuil ?

                   CHOC - DENI - COLERE – TRISTESSE –  ACCEPTATION -  RECONSTRUCTION...

On ne se remet jamais totalement de la perte liée au deuil. Le deuil, qu’il soit consécutif au départ d’un être cher, à un chagrin d’amour, au départ des enfants, ou à une rupture professionnelle, va amener un changement fondamental dans notre vie future.

...Quelque soit la perte vécue, nous tentons de déguiser la réalité et d’aller à son encontre en esquivant  les sentiments que nous ne sommes jamais autorisés à exprimer. Le deuil titille notre psyché en réveillant nos rapports avec la dépendance, la liberté, l’anxiété, la colère.

Nous pouvons guérir et nous reconstruire après cette perte, à condition que les émotions en réaction soient correctement identifiées, exprimées et réglées pour nous conduire vers le chemin de la réparation. Cela suppose la capacité de vivre chaque phase émotionnelle jusqu’à son terme, tout en prenant le temps nécessaire, sans brûler les étapes. Le deuil est un cycle complet qu’il convient d’intégrer.

Pourtant il est possible d’en guérir car le deuil est aussi un réservoir de force qui nous offre la possibilité de puiser des ressources sous estimées ou tout simplement  comprimées pour aller chercher du sens dans notre avenir. Survivre à la perte, c’est grandir et renaître.

 

Bas les masques ! Œuvrons pour la paix.

Depuis plus de deux ans, nombreux d’entre nous sont entrés dans l'isolement social qui a eu un réel impact sur nos repères spatio-temporels et notre façon de traiter les informations en masse. Certaines des données ont parlé d’isolement et de solitude angoissante. Quelques-uns ont reconnu avoir aimé ce cocooning, comme un répit social et d’autres affirmé qu’il était grand temps d’en sortir pour sortir du déclin cognitif qui a touché un certain nombre de personnes, notamment nos aînés.

Le manque de confiance, la dépression, la rumination des pensées négatives ont occupé le devant de la scène chez les plus jeunes.

La lettre manuscrite

Et si nous retrouvions le plaisir d'écrire une vraie lettre manuscrite simplement pour revivre de  bonnes sensations en voie de disparition ?

Il y a peu de temps, je reçus d’une de mes amies une lettre manuscrite de 4 pages en écriture cursive, régulière presque scolaire. Retrouvant mes réflexes d’enfant, j’humai le papier, repérai le tracé de l’encre noire, et notai par-dessus tout, l’émotion de mon amie lorsque les caractères s’élançaient où se tapissaient sur la ligne conductrice de ses phrases.

Je choisis le bon moment, libérée de toute occupation, pour « vivre » avec elle les instants qu’elle avait choisi de me confier… le temps s’était arrêté !

Expertise et qualité dans l'entreprise

Quelques perspectives

Leadership, management, marketing de soi, développement personnel, mentorat, clés de l’investissement professionnel

Autant de termes qui sont venus étoffer la palette des enjeux de la réussite au sein de l’entreprise.

Après avoir désacralisé l’importance de la reconnaissance de l’individu et « sa place au sein de sa boîte », nous avons urgemment laissé la place aux expertises pour défendre l’économie, optimiser de nouvelles ressources, qualifier de nouvelles obligations, quitte à affaiblir le potentiel de chacun...

Simon qui dit NON et Candice qui dit OUI

Nan ! Ze veux pas !

Ça commence bien ou  ça débute mal ! Combien de temps ça va durer les premières années de la vie du petit Simon ? Est-ce que ça va être LA conduite principale de toute son existence ?

Et Chérubin Simon de continuer :

- Si les gens ils sont gentils, alors moi aussi je vais être gentil et p’têt qu’après je vais dire OUI ?

Autre hypothèse :

-  Les gens, et ben, ils sont vraiment pas gentils, et je crois que je vais continuer à dire NAN …

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